Une histoire de mer :
En septembre 1783, le plus grand corsaire corse de notre histoire, Le Nunzicu Guglielmo Lorenzi, accompagné de son ami et second Angelo Franceschi, du hameau de Cannelle à Centuri, et d’une douzaine de marins corses parmi 230 membres d’équipages sont à bord de la frégate « Vittoriosa » battant pavillon maltais. Le navire quitte La Valetta pour une course dans le terrain de chasse favori des corsaires maltais, la méditerranée orientale, et plus précisément la zone entre les iles de Crète (Candia), de Rhodes (Roda) et Chypre (Cipra). Les marins sont à la recherche de proies, les navires de commerce transportant marchandises et passagers naviguant entre l’Égypte, les côtes du Liban, et la capitale de l’empire ottoman, Constantinople. Ce que Lorenzi ignore, c’est que le sultan ottoman, ulcéré par les actions de Lorenzi depuis des années, a envoyée une frégate puissante et très bien armée, avec plus de 300 marins à bord, commandée par le Raïs Ahmit de Candia, un de ses meilleurs capitaines, à la recherche du corsaire corse, pour tenter de le capturer mort ou vif. Le bateau ottoman est à sa poursuite depuis des mois. En octobre 1783, au large de Roda, les 2 navires ennemis vont s’affronter.
Rendez-vous le vendredi 9 mai à 18h00 à la découverte de cette aventure avec Bernardu CESARI ! Il emmènera une maquette de chébec (ancien petit trois-mâts de la Méditerranée), et des reproductions de cartes de l’epoque en grand format ainsi que des copies du journal de bord de l’expédition...
La Poudrière, la citadelle
ENTRÉE LIBRE
En septembre 1783, le plus grand corsaire corse de notre histoire, Le Nunzicu Guglielmo Lorenzi, accompagné de son ami et second Angelo Franceschi, du hameau de Cannelle à Centuri, et d’une douzaine de marins corses parmi 230 membres d’équipages sont à bord de la frégate « Vittoriosa » battant pavillon maltais. Le navire quitte La Valetta pour une course dans le terrain de chasse favori des corsaires maltais, la méditerranée orientale, et plus précisément la zone entre les iles de Crète (Candia), de Rhodes (Roda) et Chypre (Cipra). Les marins sont à la recherche de proies, les navires de commerce transportant marchandises et passagers naviguant entre l’Égypte, les côtes du Liban, et la capitale de l’empire ottoman, Constantinople. Ce que Lorenzi ignore, c’est que le sultan ottoman, ulcéré par les actions de Lorenzi depuis des années, a envoyée une frégate puissante et très bien armée, avec plus de 300 marins à bord, commandée par le Raïs Ahmit de Candia, un de ses meilleurs capitaines, à la recherche du corsaire corse, pour tenter de le capturer mort ou vif. Le bateau ottoman est à sa poursuite depuis des mois. En octobre 1783, au large de Roda, les 2 navires ennemis vont s’affronter.
Rendez-vous le vendredi 9 mai à 18h00 à la découverte de cette aventure avec Bernardu CESARI ! Il emmènera une maquette de chébec (ancien petit trois-mâts de la Méditerranée), et des reproductions de cartes de l’epoque en grand format ainsi que des copies du journal de bord de l’expédition...
La Poudrière, la citadelle
ENTRÉE LIBRE