La femme baobab
La femme Baobab arrive au bout du monde, regarde autour d’elle et se dit qu’elle est encore là, qu’elle a bien résisté. Puis elle se rend compte que la résistance ce n’est
pas de la liberté, la résistance c’est de la force et que l’utilisation de la force conduit à l’épuisement et à l’amertume.
Et au bout du monde, viennent à elle des femmes et des enfants réfugiés, sous ses branches, sous sa peau, pour trouver la paix et l’amour. Alors elle comprend qu’elle n’a pas fini. Que comme le cycle du temps, des arbres, après le bourgeonnement et avant de s’éteindre il y a la transmission. Que transmettons-nous ?
INTENTIONS
La femme baobab est née d’une réflexion sur l’immobilité comme destin féminin. Urgence de donner voix à ces femmes qui portent le monde, comme une célébration. Nous parlerons d’héritage familial, de sororité, de femmes qui se retrouvent sous l’arbre à palabre.
La femme baobab parle de la vie qui coule, imbibe, s’accumule en nous, dans nos jambes, jusqu’à l’immobilité. Qu’est-ce donc qui s’accumule jusqu’à mener à l’immobilité ? La violence du monde, des Hommes, des pertes. La peur, de vivre et de faire souffrir, d’être libre. La résignation. Alors on entre en résistance pour survivre.
La femme Baobab arrive au bout du monde, regarde autour d’elle et se dit qu’elle est encore là, qu’elle a bien résisté. Puis elle se rend compte que la résistance ce n’est
pas de la liberté, la résistance c’est de la force et que l’utilisation de la force conduit à l’épuisement et à l’amertume.
Et au bout du monde, viennent à elle des femmes et des enfants réfugiés, sous ses branches, sous sa peau, pour trouver la paix et l’amour. Alors elle comprend qu’elle n’a pas fini. Que comme le cycle du temps, des arbres, après le bourgeonnement et avant de s’éteindre il y a la transmission. Que transmettons-nous ?
INTENTIONS
La femme baobab est née d’une réflexion sur l’immobilité comme destin féminin. Urgence de donner voix à ces femmes qui portent le monde, comme une célébration. Nous parlerons d’héritage familial, de sororité, de femmes qui se retrouvent sous l’arbre à palabre.
La femme baobab parle de la vie qui coule, imbibe, s’accumule en nous, dans nos jambes, jusqu’à l’immobilité. Qu’est-ce donc qui s’accumule jusqu’à mener à l’immobilité ? La violence du monde, des Hommes, des pertes. La peur, de vivre et de faire souffrir, d’être libre. La résignation. Alors on entre en résistance pour survivre.
DISTRIBUTION
La femme baobab / Naéma Boudoumi
Soraya Bourgeon / Marie-Paule Franceschetti
Thana l’aveugle / Romane Brauer et Lucie Giuntini
Promesse / Simone Grenier
Cosma / Chloé Renaud
Création sonore / Lauriane Goyet et Enza Pagliara
Conception scénographique / Delphine Ciavaldini
Conception performative / Améliane Jouve
Création costumes / Delphine Ciavaldini
Écriture et mise en scène / Lauriane Goyet
Régisseur général - Création lumière / Jean-Stéphane Goyet
- En résidence de recherche du 15 au 26 avril 2024, Magasins de la Légion étrangère, la citadelle, Calvi
- Sortie de résidence tout public, le vendredi 26 avril 2024, à 18h30, ENTRÉE LIBRE, Magasins de la Légion étrangère, la citadelle, Calvi
Nos remerciements au 2ème REP de Calvi, et à son chef de corps le Colonel Thomas pour leur accueil bienveillant.